Je vais vous parler du deuxième jour, qui à porté sur le jeux et la pose de limite. Catherine nous a d'abord demandé de parler de notre enfance, sur la façon comment nos parents jouaient avec nous et comment ils ont poser les limites. sur ce sujet beaucoup de chose remonte à la surface qui nous font prendre conscience de nos réactions envers nos enfants, des moments que l'on pensait réglé, ou bien enfouie en soi.
Ce dimanche a été fort en émotion, il a fallu réveillé des souvenirs. Pour ma part, le fait de dire à haute voix et d'écouter les autres, beaucoup de culpabilité c'est envolé, je me suis sentie légère et moins seule.
Pour pouvoir donner une éducation non violente à nos enfants, chaque brèche comblé est un pas vers notre enfant dans le respect. C'est un travail de fourmi, il faut gratter, gratter, analyser notre comportement, pourquoi je réagi comme ça quand il veut ou ci ou ça, tout nos comportement excessifs sont dû à notre enfance, et cela est dur d'enlever des automatismes qui sont imprégnés en nous, que l'on hérite de nos parents qui eux-même de leurs parents et ainsi de suite.
Le faite de lire des livres sur ce sujet, on sait tous qu'il faut guérir le parent, mais là avec ce stage, Catherine nous a donné des clefs, on a pu par des jeux de rôle analyser des situation que l'on vivait avec notre enfant ou conjoint, ou famille et dont on arrivait pas à trouver une solution qui soit dans le respect et dans la douceur.
La pose de limite, ces fameuses limites dont tout le monde parle, à qui on me dit je suis trop laxiste etc... J'ai su en ce jour, que non, ce sont Nos limites à moi et mon homme, ce sont Nos règles, il y en a qui sont flexibles et d'autres NON. Chaque famille à les siennes pas la peine d'aller comparer avec le voisin, certes, elles sont plus souple, du faite que l'on écoute les besoins de nos enfants, qu'elle change avec l'évolution de nos bambins et aussi avec nos degrés de tolérance suivant nos énergie.
Par exemple : Si je me sens fatiguée en ce jour, mon seuil de tolérance est bas et donc le "NON" risque de fuser. Il faudrait l'expliquer à notre enfant qu'aujourd'hui je suis fatiguée et que sa demande risque d'essuyer des non automatique et inversement si je suis en plaine forme, je fonce dans toutes propositions de mon enfant.
Difficile de décrire ce stage, on fait beaucoup de jeux, il y a beaucoup de temps de parole mais c'est avec nos histoires et donc chaque stage est différent. Catherine est là pour nous donner les clefs pour aller vers notre enfant, notre conjoint, famille amis. C'est un échange humain qui vaut la peine d'être vécu.
Moi, il m'a ressourcer je suis revenue plus forte que jamais.
Ce dimanche a été fort en émotion, il a fallu réveillé des souvenirs. Pour ma part, le fait de dire à haute voix et d'écouter les autres, beaucoup de culpabilité c'est envolé, je me suis sentie légère et moins seule.
Pour pouvoir donner une éducation non violente à nos enfants, chaque brèche comblé est un pas vers notre enfant dans le respect. C'est un travail de fourmi, il faut gratter, gratter, analyser notre comportement, pourquoi je réagi comme ça quand il veut ou ci ou ça, tout nos comportement excessifs sont dû à notre enfance, et cela est dur d'enlever des automatismes qui sont imprégnés en nous, que l'on hérite de nos parents qui eux-même de leurs parents et ainsi de suite.
Le faite de lire des livres sur ce sujet, on sait tous qu'il faut guérir le parent, mais là avec ce stage, Catherine nous a donné des clefs, on a pu par des jeux de rôle analyser des situation que l'on vivait avec notre enfant ou conjoint, ou famille et dont on arrivait pas à trouver une solution qui soit dans le respect et dans la douceur.
La pose de limite, ces fameuses limites dont tout le monde parle, à qui on me dit je suis trop laxiste etc... J'ai su en ce jour, que non, ce sont Nos limites à moi et mon homme, ce sont Nos règles, il y en a qui sont flexibles et d'autres NON. Chaque famille à les siennes pas la peine d'aller comparer avec le voisin, certes, elles sont plus souple, du faite que l'on écoute les besoins de nos enfants, qu'elle change avec l'évolution de nos bambins et aussi avec nos degrés de tolérance suivant nos énergie.
Par exemple : Si je me sens fatiguée en ce jour, mon seuil de tolérance est bas et donc le "NON" risque de fuser. Il faudrait l'expliquer à notre enfant qu'aujourd'hui je suis fatiguée et que sa demande risque d'essuyer des non automatique et inversement si je suis en plaine forme, je fonce dans toutes propositions de mon enfant.
Difficile de décrire ce stage, on fait beaucoup de jeux, il y a beaucoup de temps de parole mais c'est avec nos histoires et donc chaque stage est différent. Catherine est là pour nous donner les clefs pour aller vers notre enfant, notre conjoint, famille amis. C'est un échange humain qui vaut la peine d'être vécu.
Moi, il m'a ressourcer je suis revenue plus forte que jamais.
En amont j'avais fais un gros travail avec une thérapie, qui m'a aidé à mettre des mots, des histoires vécu que mon subconscient gardait gravée en lui et qui ressortait dès que je vivais cette blessure, que mon enfant me faisait revivre t je lui faisait vivre cette colère car je me demandais pourquoi toi tu aurais droit alors que moi non.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire