Lors de ces deux jours, j'ai découvert et surtout pris conscience de mes choix, l'impact que cela peux avoir sur mes enfants et ma famille. Ce fût deux journées intenses, riches en émotions, et si humain.
Le programme est chargé, mais l'essentiel est là. J'ai pas fais fabber, peur que cette méthode soit trop robotisé, mais avec Catherine, tout est naturelle, elle donne des outils, à nous des les adapter à notre façon, à notre ressentie. Elle explique comment communiquer de façon à mon sens respectueuse, de savoir écouter.
La relation entre parent et enfant commence dès le premier jour de conception, dès que l'on sait que l'on est enceinte, et au fil des mois, on se prépare à la venue de ce bébé qui est déjà tant aimé. Moi, à la venue de mon premier, je me suis vue rêvée de relation si simple, sans conflit, sans cris, une relation qui beigne dans l'amour, en fait de la vie bien rose... L'amour pas de soucis, il y en a mais pour le reste c'est l'inverse, je me sentais démunie face aux crises de mon loulou. Je parle pas pour les besoins physiologiques que l'on se doit en tant que parents d'y répondre, pour qu'il ne ressente aucune frustration, pour qui naisse en lui un sentiment de confiance, de sécurité. Moi je dirais, que le plus simple c'est vraiment de combler ses besoins vitaux, après la mission se complique. Entre toutes les périodes qu'ils vivent, et comment, nous, on peut les accompagner sans leur rajouter de frustration. Le premier moyen qui peut nous facilité la tâche est bien sûr l'écoute, écouter son enfant, décrypter ses besoins. Il faut savoir qu'il y a des pleures que l'on ne va pas pouvoir comprendre, alors il va falloir quand même les recevoir, les accueillir et les écouter.
Lors de cette première journée, nous avons vu les différentes technique d'écoute par le biais de jeux de rôle, Catherine nous a permis d'améliorer notre écoute et donc de permettre à nos enfants mais aussi à notre entourage de se sentir en sécurité.
Elle nous a donné des clefs :
L'écoute est la base de toute bonne relation, par ce stage j'ai compris beaucoup de chose sur ma façon d'être avec les autres et mes enfants. Face à des situations compliqué où je ne savais pas quoi répondre et je me disais qu'il fallait que je réponde quelque chose, j'étais plutôt du genre à remonter les bretelles, j'écoutais mais je n'avais pas la bonne attitude, maintenant je connais les clefs et je m'en sert et rien que depuis ces deux jours je sens la différence avec mon entourage, et surtout je me suis excusée sur mes propos qui ont été brutale.
Et une chose, il faut toujours donner du temps à ses enfants, une écoute bienveillante. Un enfant demande notre attention et on est là pour ça, ne pas dire non à un enfant qui veut que l'on écoute. De toute façon il fera tout pour que l'on lui donne ce temps qu'il demande, cela passera par la répétition des phrases, en suite par des chouinements, et pour finir par une petite crise... à nous de faire le chemin vers eux.
Le programme est chargé, mais l'essentiel est là. J'ai pas fais fabber, peur que cette méthode soit trop robotisé, mais avec Catherine, tout est naturelle, elle donne des outils, à nous des les adapter à notre façon, à notre ressentie. Elle explique comment communiquer de façon à mon sens respectueuse, de savoir écouter.
La relation entre parent et enfant commence dès le premier jour de conception, dès que l'on sait que l'on est enceinte, et au fil des mois, on se prépare à la venue de ce bébé qui est déjà tant aimé. Moi, à la venue de mon premier, je me suis vue rêvée de relation si simple, sans conflit, sans cris, une relation qui beigne dans l'amour, en fait de la vie bien rose... L'amour pas de soucis, il y en a mais pour le reste c'est l'inverse, je me sentais démunie face aux crises de mon loulou. Je parle pas pour les besoins physiologiques que l'on se doit en tant que parents d'y répondre, pour qu'il ne ressente aucune frustration, pour qui naisse en lui un sentiment de confiance, de sécurité. Moi je dirais, que le plus simple c'est vraiment de combler ses besoins vitaux, après la mission se complique. Entre toutes les périodes qu'ils vivent, et comment, nous, on peut les accompagner sans leur rajouter de frustration. Le premier moyen qui peut nous facilité la tâche est bien sûr l'écoute, écouter son enfant, décrypter ses besoins. Il faut savoir qu'il y a des pleures que l'on ne va pas pouvoir comprendre, alors il va falloir quand même les recevoir, les accueillir et les écouter.
exemple : Un biscuit cassé en deux que l'on veut donner à notre enfant et là notre bambin entre dans une rage folle.
Cela ne vient pas du biscuit cassé, mais bien d'une sensation désagréable qu'il a vécu dans sa journée. Il va évacuer toutes les tensions accumulées dans sa journée par ces pleures, ces cris. En déchargeant leurs émotions, les enfants se libèrent.Lors de cette première journée, nous avons vu les différentes technique d'écoute par le biais de jeux de rôle, Catherine nous a permis d'améliorer notre écoute et donc de permettre à nos enfants mais aussi à notre entourage de se sentir en sécurité.
Elle nous a donné des clefs :
- Écoute active selon Wikipédia
- Écoute permissive
- Questions pour permettre d'explorer son ressentie "Comment c'est pour toi de ?"
- Aider l'autre en posant des questions pour faire avancer si on juge qu'il piétine mais pas de la curiosité.
- Questions de reformulation
L'écoute est la base de toute bonne relation, par ce stage j'ai compris beaucoup de chose sur ma façon d'être avec les autres et mes enfants. Face à des situations compliqué où je ne savais pas quoi répondre et je me disais qu'il fallait que je réponde quelque chose, j'étais plutôt du genre à remonter les bretelles, j'écoutais mais je n'avais pas la bonne attitude, maintenant je connais les clefs et je m'en sert et rien que depuis ces deux jours je sens la différence avec mon entourage, et surtout je me suis excusée sur mes propos qui ont été brutale.
Et une chose, il faut toujours donner du temps à ses enfants, une écoute bienveillante. Un enfant demande notre attention et on est là pour ça, ne pas dire non à un enfant qui veut que l'on écoute. De toute façon il fera tout pour que l'on lui donne ce temps qu'il demande, cela passera par la répétition des phrases, en suite par des chouinements, et pour finir par une petite crise... à nous de faire le chemin vers eux.